10 septembre : Joyeux anniversaire Josaphat

10 Septembre 2015

Tôt ce matin du 10 septembre, je poussais mes premiers cris sur cette terre. Après les douleurs, les cris et le travail qu’a abattu cette brave dame que j’affectionne tant et à qui je rends un hommage hors pairs, je vis le jour.

Un miracle de Dieu, l’un des mystères de cette vie. Les années passent et je grandis. Oui, je grandis et égrène un à un des années. Ce jour, j’ai vieilli d’un an. Eh oui, je parle de vieillir d’un an parce que j’ai un an de plus. C’est en fait un jour vraiment spécial. Spécial et c’est le moment de rendre hommage à mes parents, mon papa adoré et ma maman chérie.

Papa, sans ta volonté manifeste, je ne serais pas né. Vous aviez voulu, pensé, planifié et passé à l’action. Je vous suis vraiment reconnaissant. Sans vous, je ne pourrai jamais bénéficier des merveilles de cette vie. Je suis toujours avec des gens adorables, gentils, magnifiques et fabuleux. Cette conception fait aujourd’hui que je suis parmi eux et je m’évertue à apporter un plus pour la construction de cette cité planétaire.

Maman chérie, à vous la plus grande gloire et grâce. Comme je vous l’ai toujours signifié, que ferais-je si vous ne m’aviez pas porté ? C’est dans votre ventre que j’ai été conçu. Vous m’aviez couvert d’amour et quand cela a plu au Bon Dieu, le Miséricordieux de te libérer, Il a choisi ce 10 septembre pour te délivrer. Pour le peu qu’on m’a raconté, les choses se sont bien passées ce jour-là. Nous nous sommes tous sortis sains et saufs.

Maman chérie, j’aurai aimé te présenter ce texte en personne afin qu’en le lisant, tu me donnes ton sourire habituel. Mais hélas. Le même Dieu qui me donnait la vie ce 10 septembre t’a rappelé ce 27 août. Déjà 28 ans que tu nous a quitté mais l’amour que je te porte est toujours intact voire même plus vivifiant.

Comme à tous ceux qui pensent à moi en ce jour spécial de ma naissance, je pense aussi à eux tous. Les mots me manquent car chaque mot écrit ou prononcé me transgresse le cœur et me va droit dans les parties intimes de mon moi. Je vous adore tous. Plus que des amis, vous êtes des inoubliables. Je ne pourrai terminer cette note sans adresser un coucou spécial à tous ceux-là qui sont encore plus spéciaux. Coucou à Martine, Xavier, Hortense, Odile, Daphney Stévyne et Josphile Finogbé. Je vous aime tous.

Maman chérie